C’est sans surprise que nous verrons nos compatriotes invités à commémorer le 19 mars 1962. Les fêtes de leur République maçonnique ont souvent coïncidé avec des défaites de la France ! Leur fierté avec notre honte !
Notre honte, car une armée victorieuse capitulant devant un adversaire aux abois dont ceux qui menaient en sous-main les négociations avaient été extraits des prisons où les avaient envoyés leurs crimes, cela ne s’était jamais vu dans notre Histoire !
Au point que pendant un demi-siècle, confrontés aux rapatriés, anciens combattants, membres du corps médical et observateurs impartiaux qui avaient souffert dans leur honneur et dans leur chair ou avaient été témoins des conséquences sanglantes de cette trahison, les chefs de gouvernement successifs étaient prudemment restés dans l’expectative.
Ce ne fut que le 6 décembre 2012, présumant qu’un demi-siècle avait atténué les cicatrices de l’Histoire, que François Hollande accepta de donner satisfaction aux syndiqués communistes de la FNACA qui n’avaient vu dans cette capitulation honteuse qu’une occasion d’abandonner sans état d’âme leurs concitoyens des départements d’Algérie à la vindicte sauvage de leurs complices crypto-marxistes du FLN.
Déferlement de sauvagerie du FLN perpétré, à compter de ce 19 mars 1962, en toute impunité car résultant de l’ordre donné à notre armée de rester l’arme au pied, quoi qu’il arrive à nos nationaux, la politique d’abandon de l’Algérie se doublant d’une politique d’abandon des populations se réclamant de la France.
Ce dont témoigne, pour l’Histoire, le rapport de Jean-Marie Robert, sous-préfet d’Akbou, en Kabylie, adressé à Alexandre Parodi, vice-président du Conseil d’Etat, qui révèle les détails les plus sordides des tortures infligées aux supplétifs de l’armée française mais aussi aux élus, maires, conseillers municipaux, anciens combattants, chefs de village, «promenés habillés en femmes, nez, oreilles et lèvres coupées, émasculés, enterrés vivant dans la chaux ou même dans le ciment, ou brûlés vifs à l’essence».
A ces massacres de harkis et d’élus musulmans atteignant des proportions et une horreur inimaginables s’ajoutèrent, à partir du 19 mars 1962, des enlèvements d’Européens que l’historien Jean-Jacques Jordi évalue à plus de 3000. Dans l’indifférence la plus totale de la part du gouvernement gaulliste que n’émut pas davantage le massacre de 700 Européens à Oran, le 5 juillet 1962, jour officiel de l’indépendance algérienne après la victoire du « OUI » à un référendum… auquel nos compatriotes des départements – encore français ! – d’Algérie ne furent même pas admis à participer.
AU-DELÀ DE L’HORREUR : EUROPÉENS ENLEVÉS POUR LES VIDER DE LEUR SANG.
Un fantasme ? Non, un ensemble de faits mis à jour par l’historien militaire Gregor Mathias sous un titre sans ambiguïté : « Les vampires à la fin de la guerre d’Algérie » Un mythe ? Interroge-t-il, d’abord incrédule. Mais les informations qui circulaient, à Alger, à Oran, dans le bled, s’appuyaient sur les découvertes d’hommes et de femmes mystérieusement disparus dont on retrouvait les cadavres exsangues. Jusqu’au jour où un ancien légionnaire devenu prêtre décida de rendre public un document qu’il avait sauvé de la destruction des archives de la Légion à Sidi Bel Abbès : la lettre qu’un légionnaire enlevé par le FLN était parvenu à faire parvenir à son frère avec la complicité d’une infirmière musulmane qui s’était prise de pitié pour lui.
« Si tu reçois cette lettre – écrit-il – ce sera un miracle. Fais savoir à mon unité que je ne suis pas déserteur mais que j’ai été enlevé. Ils sont corrects avec nous, nous donnent bien à manger, mais c’est pour nous prendre notre sang. J’ai pourtant la chance d’être d’origine étrangère, car ils tuent d’abord les Français »
VOILA, CHERS AMIS, LE GENRE DE COMMÉMORATION QUE VOUS CONVIE A FÊTER LA GUEUSE…
La sortie du Napoléon de Ridley Scott avait ravivé les discussions sur l’empereur. Sur le bilan strictement technique et cinématographique, les avis se rejoignent majoritairement pour dire leur déception devant un film qui, malgré une matière historique gigantesque et des moyens financiers eux-mêmes généreux, ne parvient à créer ni le souffle épique ni le développement scénaristique que l’on attendait. Au mieux peut-on se consoler en admirant, pendant quelques minutes, de belles scènes de bataille, quelques beaux décors et des costumes d’époque plutôt réussis. Mais c’est un bilan assez maigre.
Le film a aussi déçu tout le monde sur l’aspect historique : les passionnés de l’empereur estiment qu’il a été présenté de façon caricaturale et dépréciative, pendant que ses détracteurs regrettent qu’un film à gros budget, bon ou mauvais, ne serve pas à faire le procès à charge d’un personnage historique critiqué aujourd’hui, par les animateurs dans l’air du temps, surtout parce qu’il a rétabli l’esclavage et régné comme un despote. Il n’existe pas en effet, dans l’espace intellectuel français « grand public », une critique de Napoléon qui ne soit pas de gauche ; au contraire le clivage se contente de prétendre que Napoléon ne peut être aimé que pour de mauvaises raisons par la droite et critiqué pour de bonnes raisons par la gauche. Tel homme de droite qui voudrait proposer un avis négatif sur le personnage n’aurait nulle part où se loger dans le petit cirque pseudo intellectuel de notre époque.
Pourtant une telle critique a existé. Du côté de l’Action française, Léon Daudet a publié en 1939 Deux idoles sanguinaires, la Révolution et son fils Bonaparte dans lequel il expose les relations filiales entre l’horrible Révolution et ce fils qui, ayant germé dans un tel ventre, ne pouvait lui-même que continuer la mauvaise œuvre commencée par sa génitrice. Mais ce livre, s’il est plaisant à lire grâce à la plume toujours affûtée de Daudet, n’est pas ce que la droite nationaliste a proposé de plus convaincant pour s’approcher de l’empereur : dix ans plus tôt, Charles Maurras a publié un petit texte autrement plus dosé en explosif intellectuel : Napoléon, avec la France ou contre la France ?
Ici, au lieu de simplement reprocher à Napoléon d’avoir fait la guerre (ce que Maurras lui reproche aussi mais avec des arguments à la fois politiques, humains, géostratégiques et historiques) et d’être à l’origine d’un bilan humain terrifiant, le maître de l’Action française dénonce aussi les effets délétères du Code Napoléon dans l’organisation anthropologique de la France, critique des choix d’alliances et des décisions diplomatiques catastrophiques en ceci qu’ils ont semé le poison d’où naîtra ensuite, par ricochets, beaucoup des grands conflits militaires que la France, bien après le passage sur la terre de Napoléon, devra longtemps affronter. Là où Maurras se différencie d’une critique qui ne serait qu’un bilan comptable des morts des guerres napoléoniennes, c’est en ceci qu’il va chercher jusque dans l’œuvre institutionnelle et juridique de l’empereur des raisons de l’accuser avoir fait du tort à la France. Un travail intellectuel de cette envergure n’existe plus aujourd’hui, le débat sur Napoléon ayant été, nous le disions plus haut, pris en otage par des gens qui, eux-mêmes pris en otage par la droite, se sentent obligés de le défendre contre des gens qui, pris en otage par la gauche, reprochent à Napoléon de n’avoir pas créé Sos-racisme et l’international LGBT de son vivant.
Que l’un des grands parmi les grands dans l’offre intellectuelle de droite, Charles Maurras, soit au nombre des adversaires de Napoléon surprendra sans doute nos contemporains. Si ce n’était que pour cela, si ce n’était que pour son côté étonnant, le livre de Maurras mériterait d’être lu. Heureusement, il est beaucoup plus que cela. Pour l’avoir fait lire à de nombreux admirateurs de Napoléon dont certains étaient même des adorateurs, je puis confirmer que Charles Maurras, par la redoutable efficacité de sa démonstration intellectuelle et argumentaire, a livré un texte d’une hauteur, d’une précision et d’une puissance rarement atteintes par un auteur, surtout — et c’est là aussi que réside l’exploit — en seulement quelques dizaines de pages, d’ailleurs écrites dans un français d’une beauté cristalline.
Dans les articles précédents, nous avons interrogé Tocqueville et Platon au sujet de la démocratie. Nous posons à présent la même question à Bonald : qu’est-ce que la démocratie ? On ne peut résumer dans un court article la pensée de Bonald sur le sujet. Il faudrait parler du divorce, « véritable démocratie domestique »1 ; mais pour l’heure nous nous intéresserons seulement à la théorie de la souveraineté populaire.
La souveraineté du peuple a-t-elle une réalité historique ?
Dans l’esprit de bon nombre de nos contemporains, la démocratie est non seulement le meilleur des gouvernements, mais même le seul qui ait le droit d’exister. Ce préjugé s’enracine dans la théorie de la souveraineté populaire : si le peuple est le véritable souverain, le seul gouvernement légitime est celui dans lequel la souveraineté du peuple est reconnue et peut effectivement s’exercer. Pourtant, la théorie de la souveraineté populaire ne résiste pas à un examen sérieux. Quel que soit le sens qu’on lui donne, cette souveraineté paraît être une chimère à laquelle aucune réalité historique ne correspond.
Admettons un instant que le peuple soit l’autorité suprême. Sur qui cette autorité s’exercerait-elle ? Là où il y a un souverain, il doit y avoir des sujets ; mais « où seraient les sujets quand le peuple est souverain ? »2
Qu’est-ce que la souveraineté populaire selon Rousseau ?
Les amateurs de la souveraineté populaire répondront peut-être que le peuple est souverain dans ce sens qu’il a le droit de faire les lois. C’est la définition de Rousseau qui, avec son goût habituel pour l’exagération, va jusqu’à soutenir que seules les lois faites par le peuple méritent le nom de lois : « toute loi, que le peuple en personne n’a point ratifiée est nulle. Ce n’est point une loi. »3
Mais là encore, on ne trouve dans l’histoire aucun exemple d’une telle chose, qui est tout simplement impossible : car « il se trouve que nulle part le peuple n’a fait des lois, qu’il est même impossible qu’un peuple fasse des lois, et qu’il n’a jamais fait, et qu’il ne peut jamais faire autre chose qu’adopter des lois faites par un homme appelé pour cette raison législateur. »4
La raison de cette impossibilité, c’est qu’une loi est une parole : elle ne peut être que l’œuvre d’une personne, et non pas d’une multitude. On peut, comme le fait Rousseau, personnifier le peuple ; mais ce n’est jamais qu’une figure de style.
Peut-on parler de peuple souverain en démocratie représentative ?
On pourra prétendre encore que la souveraineté appartient au peuple « dans ce sens que le peuple en délègue l’exercice, en nommant ceux qui en remplissent les diverses fonctions ». Mais c’est là encore une chose dont on ne trouve aucun exemple dans l’histoire, pour la même raison que précédemment : « il se trouve que le peuple ne nomme personne, et ne peut même nommer qui que ce soit ; mais qu’un nombre convenu d’individus, qu’on est convenu d’appeler peuple, nomment individuellement qui bon leur semble, en observant certaines formes publiques ou secrètes dont on est également convenu. » 5
Le peuple, qui n’est pas une personne mais une multitude de personnes, ne peut nommer qui que ce soit. L’élection par le peuple est donc une fiction. Bref, quel que soit le sens qu’on lui donne, la souveraineté populaire est une théorie à laquelle aucune réalité historique ne peut jamais correspondre. « Donc cette proposition générale ou abstraite : La souveraineté réside dans le peuple, n’a jamais reçu et ne peut recevoir aucune application ; donc c’est une erreur. »6
Louis de Bonald, Théorie du pouvoir politique et religieux, préface. Joseph de Maistre a fait la même réflexion au début de son Étude sur la souveraineté : « Le peuple est souverain, dit-on ; et de qui ? — De lui-même apparemment. Le peuple est donc sujet. » ↩︎
Jean-Jacques Rousseau, Du Contrat social, livre III, chap. 15. Pour être juste, remarquons que Rousseau n’attribue pas au peuple le pouvoir de faire la loi, mais seulement celui de la ratifier. ↩︎
Louis de Bonald, Théorie du pouvoir politique et religieux, préface. ↩︎
Il y a quelques mois, nous avons cité et commenté un extrait du Mythe de la Liberté dans lequel Sisley Huddleston montrait que cette mystique de liberté politique menait à l’oppression et à la terreur :
« Le vrai symbole de la Liberté, écrivait-il, c’est la guillotine, et je voudrais qu’à l’entrée du port de New-York, à la place de la déesse à la torche, on mît l’échafaud où ont fini toutes les revendications humaines au nom de la Liberté. »
Quel était l’avis de Maurras sur la liberté politique ?
Dans la préface de Romantisme et Révolution, Charles Maurras consacre quelques pages aux trois termes de la devise républicaine. Il le fait dans une autre perspective en allant à l’essence même des principes. Ces pages capitales seront reprises dans Sans la muraille des cyprès… (J. Gilbert, Arles, 1941).
« Des trois idées révolutionnaires que nous avons inscrites sur nos murs, la première, le principe de la liberté politique, constitutif du système républicain, a tué le respect du citoyen, je ne dis pas seulement pour les lois de l’État qu’il considère comme de banales émanations d’une volonté provisoire (comme l’est toute volonté), mais aussi et surtout pour ces lois profondes et augustes, leges natae, nées de la nature et de la raison, où les volontés du citoyen et de l’homme ne sont pour rien : oublieux, négligent, dédaigneux de ces règles naturelles et spirituelles, l’état français perdit prudence, exposé ainsi à fléchir. »
La licence politique abolit tout principe supérieur
La liberté politique posée comme principe absolu rend les lois de l’État révocables par le suffrage des élus ou le suffrage de tous les citoyens. Elles ne sont plus que des règlements provisoires qu’on observe sans les respecter ; si on ne les approuve pas, on prend son mal en patience en militant pour un changement de majorité au prochain scrutin.
Les républiques antérieures à la Révolution avaient leurs tares, mais elles avaient également de quoi freiner cette liberté politique : la loi naturelle (leges natae), « les lois divines et humaines », comme dit Cicéron, devant lesquelles le Conseil ou le Sénat, les assemblées populaires de l’Agora ou du Forum ne pouvaient que s’incliner avec respect. Au-dessus de la Cité régnait la Loi qui gardait et protégeait la Cité.
Avisant un jour dans une galerie de son palais une personne qu’il ne connaissait pas, Henri IV, voulant savoir de quel grand seigneur dépendait ce simple gentilhomme, lui demanda à qui il appartenait. « A moi-même » répondit l’homme avec une certaine impertinence. « Vous avez là un bien sot maître », répliqua le Béarnais. Sous couvert de liberté politique, le citoyen de la République française dépend lui aussi d’un bien sot maître : sa volonté, capricieuse, fluctuante, influençable et malléable.
Quelles sont les conséquences de la liberté politique à notre époque ?
Pendant longtemps, le poids du passé préserva la République de l’exercice complet de la Liberté politique, les lois naturelles furent respectées malgré de sérieuses entorses sociales et morales, parce qu’on ne pensait pas à les violer par principe. Mais depuis plusieurs dizaines d’années la démocratie est entrée au plus intime des mœurs ; elle atteint et dépasse le niveau de la démocratie politique. Une frénésie de bafouer, de détruire a saisi notre société. Les lois les plus élémentaires de la famille, les lois fondamentales de la Vie et de la Mort sont remises en cause. Après avoir désacralisé le mariage, par exemple, la liberté politique absolue veut le faire descendre au-dessous de l’accouplement des animaux. Ne surinterprétons pas notre lecture de Maurras au-delà du raisonnable ; il n’a pas pensé au PACS ou au mariage entre personnes du même sexe, mais il a bien discerné que la Liberté, dans son essence, menait à la ruine et à la mort : « Il ne faut pas dissimuler que l’on court le risque de voir ainsi s’éteindre l’homme même, l’homme politique et l’homme raisonnable, l’homme artiste et l’homme chanteur. Qui prolonge la double courbe romantique et révolutionnaire ouvre à l’Esprit une ample liberté de mourir. »
Dans les pays d’Europe sous domination judéo-capitaliste avancée – France, Allemagne et Pays-Bas – le monde paysan a été presque entièrement liquidé depuis le début de l’Occupation américaine et de l’Épuration. Cette destruction de la paysannerie française aura été un phénomène composite. Ce fut un savant mélange d’exode rural, de mécanisation, de remembrement, de concentration des exploitations, de monoculture, d’endettement, de subventions, d’effondrement des prix, de jachères, de libéralisation du marché intérieur et de mondialisation des cours des denrées.
Ce fut encore l’invasion de la chimie, l’artificialisation des procédés de production pour passer de la paysannerie à l’industrie agricole et sa cohorte de nécrotechnologies: pesticides, fongicides, détergents, hormones de croissance, perturbateurs endocriniens, métaux lourds et cancérigènes. Ce furent encore la vente à perte, les marges arrières de la grande distribution, le pillage des intermédiaires et des courtiers, la destruction des récoltes (le fameux retrait) pour le maintien des prix, l’inflation normative et réglementaire, le totalitarisme des coopératives, le racket bancaire. Ce furent la PAC, les accords de libre-échange, la culture des subventions.
Ce fut la solitude de l’agriculteur, les enfants qui ne reprennent pas, le vieillissement de la profession : plus de la moitié sont âgés de 50 ans ou plus1.
Le suicide souvent, au bout du chemin, la mort toujours…
Lorsque j’étais adolescent, la France comptait encore 2% d’agriculteurs, soit 1 200 000. Ils ne sont plus aujourd’hui que 400 000 pour nourrir un pays de soixante-dix millions de Français et d’étrangers. L’artificialisation, la mécanisation, l’industrialisation par les “apports” de la chimie expliquent en partie cette baisse. Mais cette approche descriptive et fataliste est en réalité une entreprise de naturalisation de phénomènes qui n’avaient rien d’inéluctables. Tous ces phénomènes conjugués qui conduisent à la destruction progressive de la paysannerie française furent les résultats prévisibles de politiques publiques constantes.
L’habileté de ces manœuvres qui s’étendent sur un temps très long ne peut faire oublier que ce fut d’abord une intention. Il serait temps que les Français et plus largement les Européens commencent à se demander “Qui” les veut morts…
L’Allemagne dernière chance de la France.
Ce n’est pas le moindre des paradoxes que sous la plume d’un vieux militant d’Action Française on en vint à lire que l’Allemagne est peut-être la dernière chance de la France. En effet, c’est de là, à la suite des premières secousses aux Pays-Bas, qu’est né le mouvement agricole qui enflamme toute l’Europe, de l’Espagne à la Pologne. Souhaitons que ces révoltes s’élargissent à d’autres secteurs professionnels : camionneurs, artisans, taxis, etc.
Ce mouvement pourrait bien devenir ce qu’auraient dû être les Gilets Jaunes. Un immense mouvement d’insurrection nationale et populaire devant les destructions continues commises par les oligarchies prédatrices, satellisées autour du Judaïsme politique, noyau nucléaire du pouvoir de l’étranger en France.
L’oligarchie judéoforme, avec ses loges, ses clubs, ses réseaux de sodomites – nouvel État confédéré tout puissant – ne hait rien de plus que le monde rural, avec ses accents, ses patois, ses bourrées…
C’est eux qui après avoir tué la paysannerie, massacrent la ruralité, en poussant les entrepreneurs agro-industriels au suicide. Il s’en tue deux par jour dans ce pays de Cocagne.
Guerre en Ukraine et crise agricole
La guerre de l’Otan contre la Russie est l’une des causes de cette énième crise du monde agricole. Le renchérissement de l’énergie et des combustibles a certes été décidé dans le cadre des politiques pseudo environnementales et malthusiennes de l’Occupation à Bruxelles comme à Davos, mais il est aussi conséquent à la flambée du prix du gaz qui sert d’indice aux factures du marché énergétique européen.
L’importation de denrées venues d’Ukraine en soutien au régime de faillite et de corruption de la Kiev de l’Otan a également effondré les cours de la volaille par exemple. Ce sont 230 000 tonnes de volailles ukrainienne qui ont été importé dans l’Union européenne cette année soit 100% de plus qu’il y a deux ans.
Le chaos s’étend à tous les champs : militaire, diplomatique, économique, énergétique, agricole.
Cette guerre touche toute l’Europe mais elle vise d’abord et avant tout l’Allemagne.
Son secteur industriel fut également ciblé par l’attaque terroriste sur les gazoducs NordStream 1 et 2. Biden avait annoncé à mots à peine voilé que pour séparer l’Allemagne et la Russie qui ont fusionné leurs économies durant les 25 dernières années, ce type d’opérations était au programme.
Les agriculteurs Allemands ont donc été les premiers touchés. C’est au tour aujourd’hui des Français.
Mouvement en péril
Le volcan agricole s’est réveillé. Il sera difficile désormais de faire que les coulées de laves ne sortent pas de leur lit.
Pourtant plusieurs périls menacent : le tempérament gaulois de nos agriculteurs qui risquent de se diviser sur des contradictions internes au monde agricole.
Les éleveurs n’ont pas exactement les mêmes intérêts ni les mêmes revendications que les céréaliers et ainsi de suite.
Le matérialisme des Français, avilis par 230 ans de révolution et de république, 70 ans de consumérisme et d’irréligion.
Pour peu que le gouvernement mène bien ses négociations en concédant des avantages matériels, beaucoup de ces blaireaux rentreront chez eux boulotter les crédits fiscaux concédés par un comitatus aux abois. Le moindre des périls d’un tel mouvement est son impolitisme et son absence de chefs formés et porteurs des idées claires du nationalisme intégral.
C’est là que nous avons un rôle à jouer en infusant le nationalisme intelligent dans les milieux agricoles, mais aussi chez les pêcheurs, les viticulteurs, dans les mouvements culturels localistes et autonomistes, du Béarn à l’Alsace, de Corse à la Bretagne.
Nationalistes, soyons comme le levain dans la pâte, allons sur les points de blocages et propageons la saine doctrine, nommons et désignons l’ennemi et ses complices après avoir fait sauté un bouchon, pour célébrer ces retrouvailles de la France avec elle-même. Et ne perdons pas de vue que rien ne se fait en quelques jours et que tous nos actes au service du Bien commun s’additionnent.
Nous aurons ainsi, un jour pas si lointain, du vin aux vignes.
Sébastien Kerrero (Monsieur K)
Insee Focus n 212, paru le 23/10/2020. Les agriculteurs : de moins en moins nombreux et de plus en plus d’hommes. ↩︎
Ce 21 janvier 2024 marquera le 231e anniversaire du martyre de Louis XVI. Comme chaque année, de nombreuses messes de suffrages seront célébrées à cette occasion. En voici une liste non exhaustive que nous mettrons à jour au fur et à mesure que les informations nous arriveront :
20 JANVIER
BASTIA : une Messe de Requiem sera célébrée à 17 h en l’église Saint-Charles de Bastia, pour le roi Louis XVI et toutes les victimes de la Révolution.
BÉZIERS : l’Association Louis XVI de Béziers vous invite à assister à la Messe de Requiem pour Louis XVI et toutes les victimes de la Révolution, qui sera célébrée à 12 h, en l’église Saint-Jacques, par M. le Chanoine Paul Le Brethon (ICRSP).
BORDEAUX : une Messe pour Louis XVI sera célébrée en l’église Saint-Éloi (IBP) le samedi 20 janvier à 18h30.
BRUXELLES : l’ICRSP en Belgique vous invite à participer à la messe pour le repos de l’âme de Louis XVI qui sera célébrée par Mgr Gilles Wach, le samedi 20 janvier 2024, à 11 heures, en l’église du couvent Sainte-Anne, avenue Léopold-Wiener. Elle sera suivie d’une réception.
CARCASSONNE : une Messe « pour le repos de l’âme du Roi Très Chrétien Louis XVI, martyr de la Révolution, et pour le salut de la France » sera célébrée en la basilique Saint-Nazaire-et-Saint-Celse de Carcassonne, à la demande de l’IMB.
LA GAUBRETIÈRE (85130) : l’Association Royaliste Légitimiste de Vendée vous invite à la messe célébrée en la chapelle de la Sainte-Famille de Ramberge, à 10 h 30.
LYON : l’association Présence du Souvenir Bourbonien vous invite à la Messe pour Louis XVI et pour la France qui sera célébrée à 10 h 30 par le Père Patrick Rollin, en la basilique Saint-Bonaventure (7 place des Cordeliers, 2e arr.). Le prince Rémy de Bourbon-Parme y sera présent en tant que représentant de son cousin le prince Louis de Bourbon, de jure le roi Louis XX. Avec la participation des Trompes de la Diane Lyonnaise.
NANTES : une Messe de Requiem pour le repos de l’âme du roi Louis XVI sera célébrée à 16 h 30 par l’abbé Garnier (FSSP), en l’église Saint-Clément.
NANTES : une Messe de Requiem suivie de l’absoute pour le repos de l’âme du Roi Louis XVI, pour toutes les victimes de la Révolution, pour la Bretagne et pour la France sera célébrée à 18 h 30, en l’église Saint-Émilien (FSSPX) du prieuré Saint-Louis.
NÎMES : le Cercle Saint-Louis-Roi de France vous invite à la Messe en mémoire du roi Louis XVI et des victimes de la Révolution, qui sera célébrée à 11 h, en la chapelle Sainte-Eugénie, par M. l’abbé Frédéric Auriol (ICRSP).
PARIS : une Messe solennelle de Requiem sera célébrée à 19 h, en l’église Saint-Eugène-Sainte-Cécile.
PARIS : à 11 h, en l’église Saint-Germain-l’Auxerrois, une messe en mémoire du Roi Louis XVI, des défunts de la Famille royale et des victimes de la Révolution française sera célébrée par l’abbé Olivier Scache, en présence du prince Jean d’Orléans, chef d’une branche cadette de la Maison de Bourbon.
PERPIGNAN : le Cercle Légitimiste Hyacinthe Rigaud vous invite à la Messe de Requiem pour Louis XVI qui sera célébrée le samedi 20 janvier 2024, à 18 h 30, en l’église Saint-Matthieu de Perpignan.
ROUEN : l’ICRSP vous invite à la Messe de Requiem pour Louis XVI qui sera célébrée en l’église Saint-Patrice, à 11 h.
SARRELOUIS (Allemagne) : une messe sera célébrée à 15 h, en l’église Saint-Pierre-Canisius (FSSP) de Sarrelouis.
SAINT-CLÉMENT (19700) : le Cercle Légitimiste Guy de Blanchefort vous invite à la Messe de Requiem pour le roi Louis XVI qui sera célébrée à 18 h par un prêtre de la FSSPX en la chapelle Saint-Loup du hameau des Plats-de-Saint-Clément.
SAINT-DENIS : à midi pile, une Messe à la mémoire de Louis XVI, sera célébrée en la basilique royale de Saint-Denis, à l’initiative du Mémorial de France à Saint-Denys, suivie de l’absoute dans la crypte.
SAINT-MARTIAL (07310) : Messe annulée en raison des conditions climatiques.
STRASBOURG : une Messe pour Louis XVI sera célébrée à Strasbourg à 16 heures, en la chapelle Notre-Dame-du-Rosaire (28, rue du Faubourg de Pierre).
TOULOUSE : Monsieur Jacques Charles-Gaffiot, président de l’Académie Louis-XVI, et Madame Christian de Courrèges d’Agnos, déléguée régionale, ont l’honneur de vous inviter à assister ou à vous unir d’intention à la Messe de Requiem qui sera célébrée à 11 h en la chapelle Saint-Jean-Baptiste, pour le roi Louis XVI, la famille royale et les martyrs de la Révolution, par le chanoine Thibaut d’Aviau de Ternay, icrsp.
VALENCE : la communauté catholique traditionnelle de Valence et le Fr. Maximilien-Marie du Sacré-Cœur vous invitent à la Messe de Requiem qui sera célébrée en l’église Notre-Dame de Valence (FSSP), le samedi 20 janvier à 11 h.
VERNY (57000) : le Cercle légitimiste Robert de Baudricourt organise une commémoration légitimiste en souvenir de sa Majesté le roi Louis XVI, samedi 20 janvier 15h à Verny. Pour plus d’informations : cliquez ici.
TOKYO (Japon) : à la demande du Cercle d’Études Royales, une Messe à l’intention de Louis XVI sera dite le samedi 20 janvier à 11h, en la chapelle des martyrs du Japon, à Omiya (adresse : Hayashi Building 2F, 2-256-8, Azuma-chô, Ômiya-ku, Saitama City). Le lendemain sera organisé un pot commémoratif, avec conférence.
21 JANVIER
AURILLAC : une Messe pour le roi Louis XVI et sa famille sera célébrée le dimanche 21 janvier à 12h30, à la chapelle de la Sainte-Famille, rue du Monastère à Aurillac, dans le Cantal.
BELLOY-EN-FRANCE (95270) : une messe sera célébrée pour Louis XVI, en l’église Saint-Georges, à 11 h.
METZ : une Messe pour Louis XVI sera célébrée à 10 h, en l’église Saint-Bernard de Metz.
NANCY : une messe pour le repos de l’âme du roi Louis XVI sera célébrée à 10 h 30, en l’église Marie Immaculée (rite extraordinaire).
PARIS : sous la présidence de Monseigneur le Duc d’Anjou, chef de la Maison de France, le duc de Bauffremont, président de l’IMB, et les membres du conseil d’administration vous invitent à la Messe qui sera célébrée pour Louis XVI, pour la France et pour la famille royale à 10 h 30 en la Chapelle Expiatoire, 29 rue Pasquier (8e arr.).
TOULON : comme chaque année, une messe sera célébrée par les Missionnaire de la Miséricorde Divine en souvenir de Louis XVI et de tous les martyrs de la Révolution française. Elle aura lieu le 21 janvier à 18h30, en l’église Saint-François-de-Paule. Ce sera l’occasion de se souvenir de ce moment dramatique de l’histoire de notre pays et de prier pour la France. La messe sera célébrée dans la forme extraordinaire du rit romain par le chanoine Alain Boussand, curé de Lorgues, et sera chantée en grégorien. Le testament du roi sera lu à la fin de la messe.
VANNES : messe pour Louis XVI à Vannes à 8h15. Apéritif offert à l’issue de la messe de 10h00. Programme proposé par le cercle Georges Cadoudal. Pour renseignements et inscription : cliquez ici.
22 JANVIER
CAEN : la FSSP de Caen vous invite à la Messe de Requiem avec absoute pour le repos de l’âme du roi Louis XVI qui sera célébrée à 18 h 30, en l’église Saint-Sauveur de Caen.
COLMAR : la paroisse personnelle de la Croix Glorieuse vous invite à la messe qui sera célébrée pour le roi Louis XVI à 18 h 30, en l’église Saint-Joseph de Colmar.
MARSEILLE : une messe à la mémoire de Louis XVI et des victimes de la Révolution aura lieu à 19h, en la basilique du Sacré-Cœur, rue du Prado. Messe de Requiem avec Trompette et Orgue, célébrée par le Père Olivier Salmeron.
MONTPELLIER : une Messe de requiem pour Louis XVI et les victimes de la Révolution sera célébrée par le Chanoine Waché de Corbie, à 19 h, en la Chapelle des Pénitents Bleus de Montpellier.
POITIERS : le Cercle Alphonse de Poitiers fera célébrer une Messe pour la France en mémoire de Louis XVI le 22 janvier, à 12h, en l’église Saint-Porchaire à Poitiers.
23 JANVIER
LIMOGES : une messe pour Louis XVI sera célébrée en la basilique Saint-Michel-des-Lions à 12 h 15. La messe sera précédée par la lecture du testament royal par M. Philippe Théra. Possibilité d’un repas commun au restaurant Les Échoppes, à partir de 13 h 30. Pour s’inscrire au repas, contactez Alain Texier.
26 JANVIER
BRESSOLLES (03000) : une Messe de Requiem pour Louis XVI sera célébrée le vendredi 26 janvier à 18h30, en l’église du Sacré-Cœur de Bressolles, dans l’Allier.
27 JANVIER
TARASCON : une Messe de Requiem pour le roi Louis XVI et les victimes de la Révolution sera célébrée le samedi 27 janvier à 18h30, en l’abbaye Saint-Michel de Frigolet. Repas ensuite, inscription au 06 46 33 56 95.
25 FÉVRIER
ANGERS : messe pour Louis XVI (11 h) et conférence sur « Bonchamps et Lescure, ou la sainteté politique » (15 h) organisées par le Cercle légitimiste Paul Barillon. Pour inscription et informations complémentaires : cliquez ici.
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