Bonne année 2024

Bonne année 2024

Si nous sommes ce que nous devons être, si nous tenons « serré le lien qui nous tient réunis avec les Pères de notre esprit et de notre goût », si les prêtres d’AF prient pour nous et si le souci du Bien commun nous anime, alors 2024 sera l’année de l’amitié et du renouveau Français !

« Tout désespoir en politique est une sottise absolue »C. Maurras

Belle, sainte et heureuse année à tous !

⚜️VIVE LE ROI⚜️

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Dissolution d’Academia Christiana : communiqué de l’Action Française

Dissolution d’Academia Christiana : communiqué de l’Action Française

L'AF condamne la dissolution d'Academia Christiana

À travers sa volonté de dissoudre Academia Christiana, le régime s’attaque à tout ce qui nous tient à cœur : la France et ses familles, ses territoires, ses traditions, sa spiritualité. La république déclare la guerre au pays réel, aux Français qui se battent pour le beau, le bon et le vrai. Mais si les institutions se crispent, c’est la preuve que nos idées avancent et que de plus en plus de jeunes refusent d’entrer dans la danse macabre de l’anti-France.

L’Action Française dit toute sa sympathie aux militants d’Academia Christiana, cet institut de formation politique au service du Bien commun. Ils peuvent bien dissoudre des structures, jamais ils n’empêcheront la France de battre en nos cœurs.

Le Comité Directeur de l’Action Française

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L’Edito de Jérôme Bourbon : Encore une fois l’immigration tue 

L’Edito de Jérôme Bourbon : Encore une fois l’immigration tue 

Détail d'un sticker "La France aux Français"

Article à retrouver sur Rivarol.com

LORSQUE des hommes publics sont sur le point de quitter la vie politique ou sont proches de la mort, il leur arrive de dire tardivement quelques vérités. On se souvient ainsi des confidences d’un François Mitterrand s’apprêtant à quitter l’Elysée le 17 mai 1995 et dénonçant auprès de l’académicien Jean d’Ormesson (qui le relatera dans son livre Le Rapport Gabriel) « l’influence puissante et nocive du lobby juif ». On se rappelle également les déclarations de l’ancien Premier ministre Raymond Barre, peu avant sa disparition, en 2007, sur France Culture sur « le lobby juif » capable de « mener des campagnes ignobles » (il faisait allusion à la façon dont il avait été traité après sa fameuse phrase sur « les Français innocents » à propos de l’attentat de la rue Copernic). On a également en mémoire les propos de Roland Dumas, tant à la revue Charles que sur BFMTV, sur « l’influence juive » et son importance dans la vie politique française.

De même, l’ancien maire de Lyon, le socialiste et macronien Gérard Collomb (1947-2023), qui est mort ce 25 novembre à 76 ans des suites d’un cancer à l’estomac, avait, en quittant la place Beauvau le 1er octobre 2018, tenu des propos relativement peu politiquement corrects sur la question de l’immigration dans notre pays : « « Si j’ai un message à faire passer — je suis allé dans tous ces quartiers, des quartiers nord de Marseille, au Mirail à Toulouse, à ceux de la couronne parisienne Corbeil, Aulnay, Sevran —, c’est que la situation est très dégradée et le terme de reconquête républicaine prend là tout son sens parce qu’aujourd’hui, dans ces quartiers, c’est la loi du plus fort qui s’impose, celle des narcotrafiquants et des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République » confie-t-il devant le Premier ministre de l’époque et futur candidat à la présidentielle de 2027, Edouard Philippe.

Les aveux sans concessions d’un ministre de l’Intérieur

DANS UN DISCOURS aux accents crépusculaires, voire apocalyptiques, le ministre de l’Intérieur démissionnaire ne prend alors guère de gants pour décrire la réalité qu’il a observée des mois durant, aux premières loges et avoue ses craintes : « Il faut à nouveau assurer la sécurité dans ces quartiers mais je crois qu’il faut fondamentalement les changer, quand des quartiers se ghettoïsent, se paupérisent, il ne peut y avoir que des difficultés et donc […]il faut une vision d’ensemble car on vit côte à côte et je le dis, moi je crains que demain, on ne vive face à face. Nous sommes en face de problèmes immenses. » Les limites de toutes ces déclarations, c’est qu’elles sont très tardives et purement verbales. Car qu’a fait le ministre Collomb pendant les quelque dix-sept mois où il a été titulaire de la place Beauvau ? Un ministre ne doit pas se contenter de parler, il doit agir. Le magistère de la parole ne suffit pas. Le verbe peut même être un instrument de manipulation servant à rassurer faussement le grand public qui croit que le ministre essaie véritablement d’arranger la situation et de protéger le peuple. Les ministres de l’Intérieur depuis quarante ans, de Pasqua à Sarkozy, de Collomb à Darmanin, savent jouer du menton et faire des déclarations martiales mais rien ne se passe concrètement. Ou plutôt si : l’invasion migratoire se poursuit, s’amplifie, avec toutes ses conséquences désastreuses sur la vie de la nation.

C’est qu’en réalité les politiciens successifs qui nous dirigent depuis des décennies ne sont pas là pour servir le bien commun, le peuple et la nation mais pour accomplir un agenda mondialiste qui vise à la destruction de l’Europe et de l’Occident. D’où l’ouverture à une submersion migratoire sans précédent par son ampleur dans notre histoire. D’où la légalisation de l’avortement et demain de l’euthanasie, la diffusion massive de la drogue et de la pornographie. D’où la promotion d’une idéologie LGBT visant à tuer notre enfance et notre jeunesse et à enlever tout avenir à notre nation, à notre civilisation.

Ils savent très bien ce qu’ils font

C’EST UNE ERREUR de croire que les politiciens mettent en œuvre cette folle et criminelle politique par naïveté, par bêtise, par incompétence ou même par idéologie. Ils sont parfaitement conscients de ce qu’ils font car ils ont, eux aussi, des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Simplement ce sont des vendus qui, pour faire carrière, pour être ou rester au pouvoir, avec tous les avantages et privilèges que cela confère, trahissent les devoirs de leur charge, nuisent gravement à leur peuple et à leur nation. Il s’agit pour eux de mettre en œuvre sans barguigner les décisions des cénacles mondialistes, les directives de l’ONU, du Conseil de l’Europe, de la Commission de Bruxelles, des ONG, de la Trilatérale et du groupe Bilderberg.

Si tel n’était pas le cas, s’il n’y avait pas au plus haut niveau une volonté de destruction des nations et peuples européens, comment pourrait-on expliquer que, quels que soient les gouvernements et les majorités, dans les différents pays d’Europe, on ait mis partout en place des politiques de submersion migratoire, de formatage antiraciste, abortif et LGBTiste et qu’on ait mis en œuvre un impressionnant arsenal de répression contre les prétendus « crimes de haine » pour sanctionner sévèrement les autochtones s’opposant au Grand Remplacement (loi Pleven), à l’avortement industriel (loi Neiertz), à l’homosexualisme (loi Perben) ?

Les politiciens savent parfaitement ce qu’ils font et pourquoi ils le font. Et c’est ce qui rend leur responsabilité encore plus immense, leur faute sans excuse. Souvenons nous du livre Un président ne devrait pas dire ça… paru en 2016 vers la fin du quinquennat de François Hollande. Dans les confidences que le président socialiste fait à des journalistes et qu’ils ont retranscrites dans ce livre, Hollande semble parfaitement conscient du danger mortel que fait peser sur notre pays une immigration massive de peuplement. Devant ces publicistes, il ne tient pas le discours aseptisé qu’il développe en public. C’est une preuve de plus que nos dirigeants, et les politiciens en général, savent ce qu’il en est. Mais ils continuent en public à mentir, à tromper, à dissimuler, à relativiser. Et surtout, plus gravement encore, dans les actes, ils ne prennent aucune mesure de nature à endiguer le mal. Bien au contraire.

L’état est responsable de la mort de Thomas

CE QUI S’EST PASSÉ dans le petit village de Crépol dans la Drôme dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre dépasse l’entendement. Une bande ethnique issue du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère est venue « pour tuer des Blancs » en attaquant sauvagement au couteau de jeunes participants à un modeste bal populaire de campagne, causant la mort du jeune Thomas, âgé de 16 ans seulement, et blessant grièvement plusieurs autres jeunes gens. De l’aveu de plusieurs témoins unanimes, cette bande ethnique est bel et bien venue pour tuer. Le crime est prémédité, délibéré, organisé. Et ce qui est plus terrible encore, c’est que les assaillants étaient pour la plupart mineurs. Mais on peut être mineur et être déjà hélas un assassin. Il ne s’agit pas, comme on l’a répété dans la plupart des media mainstream de manière mensongère et euphémisante, d’une simple rixe entre jeunes. Il s’agissait d’une attaque délibérée, d’une agression exécutée froidement pour tuer. Contrairement à ce qu’a voulu faire croire pendant une semaine le procureur de la République pour brouiller les pistes, les jeunes étaient tous issus du même quartier et tous d’origine étrangère, extra-européenne. Au nom de l’antiracisme unilatéral et de l’idéologie dite anti-discriminatoire, on en vient à nier la réalité, à déformer les faits, à mentir par omission voire activement. On refuse de donner les prénoms et noms des assaillants pour que le grand public ne fasse pas le lien direct avec l’immigration. On parle d’une simple bagarre qui a dégénéré entre jeunes. Ce déni du réel, ce mensonge sur la réalité des faits ne sont d’ailleurs pas une exception française. On a appris il y a quelques années qu’en Allemagne et au Royaume-Uni les politiciens et la presse avaient délibérément minimisé par tous les moyens, voire dans certains cas totalement passé sous silence l’existence de viols massifs et systématiques de jeunes Allemandes et de jeunes Britanniques car les auteurs de ces crimes étaient des immigrés extra-européens pour ne pas inciter à des réactions d’autodéfense de la part des autochtones. Peut-on aller plus loin dans la trahison du peuple ?

Nous vivons vraiment des temps effrayants, apocalyptiques. Ceux qui devraient protéger le peuple ne remplissent pas leurs missions. Pis, ils favorisent par tous les moyens sa mise en esclavage voire sa mise à mort. Et la justice punit sévèrement les jeunes Français qui ont manifesté spontanément à Romans-sur-Isère leur écœurement et leur révolte face à cette situation en les condamnant immédiatement à de la prison ferme : 10 mois, 8 mois, 6 mois. Tous sont partis en détention à l’issue du procès. Ça ne badine pas ! Mais si l’Etat protégeait réellement les citoyens comme c’est son obligation fonctionnelle, ne se constitueraient pas des groupes spontanés d’autodéfense. C’est la faillite de l’Etat, son abdication volontaire qui crée cette situation inouïe. Ce sont les politiciens français qui devraient passer en jugement et non de jeunes citoyens légitimement révoltés devant l’abominable tragédie de Crépol.

Oh bien sûr la situation est aujourd’hui tellement dégradée et explosive qu’il est bien difficile de rétablir l’ordre et le calme et d’éviter totalement à l’avenir la répétition de telles attaques. Jean-Marie Le Pen disait lui-même dans les années 1980 à propos de l’immigration qu’on aurait atteint un point de non-retour avant l’an 2000 si rien n’avait été fait d’ici là dans ce domaine pour inverser les choses. Alors que dire en 2023 ? Mais, comme dit l’adage, il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer. Il faut d’urgence arrêter puis inverser le courant torrentiel de l’immigration et être d’une fermeté sans faille face à toutes les atteintes aux biens et aux personnes. Crépol le démontre une nouvelle fois, et c’est ce que nous répétons depuis des décennies dans RIVAROL : toute société multiculturelle est multiconflictuelle. La France devient un Liban et, bien pire encore, un Kossovo. Le pire est très probablement devant nous. On ne pourra pas en tout cas nous reprocher de ne pas avoir sonné le tocsin depuis déjà de très longues décennies. Mais hélas en vain. […]

RIVAROL, <jeromebourbon@yahoo.fr>

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DISSOLUTION DE CIVITAS 

DISSOLUTION DE CIVITAS 

« Les libertés ne s’octroient pas, elles se prennent »
Charles Maurras

Pour marquer l’anniversaire des 65 ans de la constitution de Marianne V, le Ministre Darmanin a annoncé la dissolution de CIVITAS pour incitation à la haine, antisémitisme et homophobie, insistant sur le fait que les valeurs de ce mouvement n’ont pas leur place dans la République.

Le 3 octobre, le Ministre Borne recevait en grande pompe Guillaume Trichard, nouveau Grand Maître du Grand Orient de France pour « échanger sur l’importance de préserver les valeurs de la République afin de lutter contre les discours des extrêmes ». Les choses sont claires, nous le savions et nous continuerons notre combat, coûte que coûte.

L’Action Française exprime toute sa solidarité envers les militants de CIVITAS et envers son président Alain Escada.

Gageons que la dissolution de CIVITAS aura pour effet positif de créer une dynamique nationaliste dans notre vieux pays.

A.B.L.R


Le Comité Directeur de l’Action Française

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4 septembre 2020 : Pierre Sidos ? Présent !

4 septembre 2020 : Pierre Sidos ? Présent !

Le 4 septembre 2020 nous quittait Pierre Sidos, au terme d’une longue vie, notamment militante, au service de la France et inscrite dans la voie nationaliste. Nous livrons l’hommage de Jean-Pierre PAPADACCI publié dans la livraison de RIVAROL (n°3437) du 9 septembre 2020.

C’ÉTAIT UN CHEF, UN MILITANT ET UN FRANÇAIS SANS TACHE

Il s’appelait Pierre Sidos et, autour de ce Pierre, se bâtit, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, le jeune nationalisme révolutionnaire français. En effet Pierre Sidos fut l’inventeur et le créateur du Mouvement « Jeune Nation » qui contribua, par son action, à mettre à bas la république quatrième du nom. Pierre Sidos avait de qui tenir : il était membre d’une vieille famille française qui s’était consacrée au service de la France. Son frère Jean était mort au combat, en 1940, dans les rangs d’un régiment de tirailleurs sénégalais, son père, officier, ancien combattant de Verdun avait été assassiné en 1946 par les épurateurs gaullo-communistes, son jeune frère Henri, parachutiste colonial, ancien combattant d’Indochine, était tombé en Algérie en 1957. Les épreuves subies à la fin de la guerre, son internement au camp du Struthof, sa condamnation, puis l’exécution de son père, avaient renforcé ses convictions et sa volonté de liquider la gueuse.

Dès sa création le Mouvement Jeune Nation se fit remarquer par la formation de ses militants, éduqués dans une opposition radicale au régime républicain, par des manifestations de propagande pour défendre l’Empire colonial Français mais aussi par des actions musclées contre les ennemis de la Patrie et particulièrement les communistes. Jacques Sidos s’illustra en attaquant une camionnette de l’Humanité et en détruisant les 25 000 journaux qu’elle transportait. Dès le début des événements d’Algérie, le mouvement recruta et forma dans les grandes villes, Alger et Oran, des militants révolutionnaires qui furent les catalyseurs du mouvement populaire du 13 mai 1958. Le dernier président du conseil, Pierre Pfimlin, conscient du rôle joué par Jeune Nation, se vengea en signant la dissolution du mouvement le 15 mai 1958. La naïveté des nationaux et des chefs militaires permit à De Gaulle Charles de canaliser la révolte populaire patriotique pour créer une cinquième république lui accordant les pleins pouvoirs pour liquider l’Algérie. Il s’empressa, à son tour, de faire dissoudre le mouvement qui s’était reconstitué sous le nom de « Parti nationaliste ».

L’opposition résolue des nationalistes à la politique de trahison gaulliste se perpétua dès lors dans la clandestinité. Jeune Nation fut donc, bien avant l’OAS, le premier mouvement clandestin luttant contre l’abandon de l’Algérie. Pierre Sidos créa aussi en 1960 la FEN, Fédération des étudiants nationalistes, qui regroupait dans un cadre légal les jeunes partisans de l’Algérie Française. Il mobilisa les militants et les moyens du Mouvement contre le bradeur d’empire et fut un rouage essentiel de l’attentat du Petit-Clamart. Le destin épargna De gaulle Charles et Pierre se retrouva dans les geôles de la Ve République. Dès sa sortie de prison, il reprit le combat malgré la scission engendrée par Dominique Venner qui prétendait inventer un nouveau nationalisme à base de réalisme biologique, de paganisme et d’européisme. Pierre Sidos inspira et soutint alors le mouvement Occident qui adopta le style et les méthodes de Jeune Nation.

Jamais abattu, il continua « la longue marche » du nationalisme français en créant la revue « Le Soleil » et en regroupant, en 1968, les Français encore dignes de ce nom, dans un nouveau Mouvement intitulé «L’Œuvre française ».

UN CHEF ET UN MILITANT

Pierre Sidos donna à tous ceux, qui eurent l’honneur d’œuvrer à ses côtés, l’exemple d’un chef et d’un militant, il était le chef car il était d’abord le premier des militants. Il consacrait son temps, son énergie et son argent à la défense de la France et ne se reposait jamais. Il se comportait comme s’il était membre d’un ordre religieux ou militaire. Il nous apprit que le culte de la Patrie se pratique, à chaque instant seul ou en nombre et surtout qu’il ne faut jamais désespérer de la France.

Il resta toujours fidèle au Nationalisme français et eut à cœur de transmettre l’enseignement qu’il avait reçu de ses maîtres. « Je considère que j’ai toujours défendu les mêmes idées depuis ma tendre jeunesse. En quatre-vingts ans, je n’ai guère varié. » En tant que Chef, il imagina, créa ou recréa des structures politiques de combat au service de son idéal et passa sa vie à former des militants. Il recherchait l’excellence dans tout ce qu’il faisait car il savait bien qu’un nationaliste français doit être exemplaire dans sa vie, dans son travail, dans sa famille, pour être crédible. Il pensait et agissait français en toute chose.

Cet homme qui avait lancé l’emblème de la croix celtique, qui avait créé « Jeune Nation », mouvement politique devenu légendaire, ne se reposa jamais sur ses lauriers, il milita jusqu’aux derniers jours de sa vie. Il était simple, modeste, toujours courtois et chaleureux. Il n’écrivit jamais de mémoire, comme le font ces chefaillons nationaux et démocrates toujours imbus de leur personne, car il estimait qu’il n’avait fait que son devoir de Français. Tout comme ses grands anciens Bucard, Darnand, Doriot, Pierre Sidos méritait bien ce beau titre de chef.

LE MESSAGE DE PIERRE SIDOS

Pierre Sidos nous a quittés mais le combat pour la pérennité de la France continue. Toute sa vie, il nous a montré, comme le disait son vieux maître Edouard Drumont, « que nul n’a droit à sa peau qui ne la défende » et il nous a appris, comme le disait Bernanos, « que l’espérance, c’est le désespoir surmonté ». Nous ne l’oublierons pas et nous tenons à transmettre son enseignement en rappelant ces quelques phrases emblématiques tirées de ses écrits :

« Les institutions d’une grande nation ne doivent en aucun cas être le résultat hasardeux d’une loterie électorale »

« Ce ne sont pas les électeurs ni les élus qui sauveront la France, il faut une RÉVOLUTION ».

« Assez de boue, assez d’abandons, assez de discours, assez de marchés, assez de cuisine électorale ».

« Nous voulons un État nouveau, à la fois autoritaire et populaire, national et social »…

« De même qu’il existe une séparation de l’Église et de l’État, nous demandons la séparation de la synagogue et de l’État, des loges et de l’État, des banques et de l’État »…

« La croix celtique est la représentation de notre volonté d’unir le très lointain passé de notre peuple à l’espérance d’un avenir plus grand ».

Pierre Sidos repose désormais dans notre panthéon idéal aux cotés des héros et des saints qui ont fait, protégé et défendu notre vieux pays. Si je pouvais choisir son épitaphe, j’écrirais simplement : « Personne n’a plus aimé et mieux servi la France ».

Jean-Pierre Papadacci

Source : Rédaction Jeune Nation 

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Dissolution de civitas

Dissolution de civitas

Toute politique inclut la reconnaissance d’un ennemi, la République ne l’a jamais oublié et ne cesse de le désigner : la France. Oui, la République continue de combattre avec toute sa rage idéologique les Français qui ne se renient pas et qui osent crier, à temps et à contre-temps, les vérités qui déragent. 

La Gueuse entend cette fois-ci dissoudre le mouvement CIVITAS. Toute la clique politique s’est soudainement mise à hurler à l’abjection : de Mélenchon à la très inspirée Edwige Diaz du RN, en passant par Mathilde Panot, le communautaire Gilles-William Goldnadel ou encore le président du sacro-saint B’nai B’rith France Philippe Meyer. Tous s’inclinent. 

Quant à nous, militants d’AF, nous disons que face à l’adversité, il faut savoir resserrer les rangs et laisser de côtés les divergences, toujours minimes quand notre pays est sur le point de disparaître. Compromis nationaliste, ici et maintenant !
La meute qui hurle et qui souhaite dévorer le troupeau est toujours la même. Ne l’oublions jamais. Cette leçon doit être apprise par tous les Français qui placent l’intérêt national au dessus de tout.

L’Action Française manifeste son soutien et son amitié au mouvement CIVITAS et à son président Alain Escada. Quand le nationalisme avance, la République se crispe. Ils peuvent bien dissoudre des organisations, ils ne pourront rien contre l’état d’esprit de ceux qui sont les derniers remparts de la Cité.

A bas la République, vive le Roi !

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