Il faut désormais faire peur à l’oligarchie, à ses membres, aux particuliers, aux clampins… de chair et de sang. S’ils ont décidé de diffuser par les mass medias une pandémie fictive, c’est parce qu’ils ont eu peur qu’un vrai virus ne les tue eux aussi. Ils n’ont pas de plus grande peur que celle de mourir… Persuadés de l’inexistence d’une destinée surnaturelle post-mortem, ils croient dur comme fer que seule existe cette misérable existence et plus encore qu’elle se limite aux plaisir tristes des sens et de la chair. C’est parce qu’ils n’ont aucun sens du caractère sacré, mystérieux et précieux de la vie qu’ils n’envisagent les êtres que comme des amas de chair brute dont ils pourraient disposer selon leur bon plaisir. Du fait de leur ignorance des fins dernières, ils ont une peur bleue de mourir. Ils ne sont pas les seuls, le troupeau ahuri des déchristianisés, pour les même raisons, a lui aussi peur de mourir, il est donc disposé à toutes les bassesses pourvu qu’on lui concède encore un délai. Mais cette peur qu’ont les oligarques de mourir nous procure un inestimable avantage stratégique à nous autres, militants révolutionnaires de la contre-révolution, paladins de la Tradition, soldats politiques de la nation, partisans de l’identité française, demi soldes de tout ce que le monde ancien nous a transmis de bon et de vrai. Nous ne voulons pas mourir, nous voulons vivre pour voir grandir les rejetons de notre race, nous voulons vivre pour les amitiés exigeantes et pour le goût du vin, pour éprouver les joies auxquelles un bon sujet et un citoyen vertueux a droit. 

Et comme nos aînés le firent en mille occasions, nous donneront volontiers nos vies à plus grand que nous, pour nos familles, pour la patrie, pour la Cité, pour la pérennité de notre civilisation, la plus brillante qu’est éclairé le soleil…

Nous n’avons pas peur de mourir, faites-le savoir à l’oligarchie, à la façon des coups de main des partisans de Mao Tsé Tung, nous pouvons frapper où nous voulons et quand nous le voudrons. Et nous frapperont sur eux. Non sur des symboles, des institutions, des bâtisses ou des sièges sociaux. Non, nous frapperons sur eux, en chair et en os. Et nous retournerons sans encombre à l’obscurité de nos vies de Goyims sans dommage. Sans préjudice.

 Monsieur K.

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