La question vaccinale est complexe. Les vaccins ne constituent pas un tout homogène pour lequel il suffirait de dire oui ou non, partout et toujours. Ce sont des outils de prévention dont l’utilité doit être discutée au cas par cas.

Il faut avant tout envisager le rapport bénéfice/risque : par exemple un coronavirus (cas de la Covid) ne constitue pas un risque pour un enfant ou un adulte jeune et en bonne santé. Pourquoi alors le vacciner, sachant que les complications graves dues au vaccin sont réelles bien que rares ? Quant aux personnes âgées et vulnérables, si on envisage de les vacciner, se référer à ce qu’en a dit le ministre de la Santé, Olivier Véran, en réponse au Conseil d’Etat le 30 mars dernier (protection partielle, transmission possible malgré la vaccination).

Il existe trois sortes de vaccins :

  1. Les bons et très bons (type tétanos ou diphtérie) avec un excellent rapport efficacité/innocuité.
  2. Les vaccins “moyens” avec une efficacité moins nette, provisoire, mais une dangerosité réduite, par exemple la grippe.
  3. Les mauvais vaccins, dont certains ont été abandonnés pour efficacité douteuse (Choléra), voire effets délétères (Dengue, plus récemment aux Philippines)

En ce qui concerne la Covid, tous les vaccins disponibles, sans exception, sont en cours d’expérimentation, c’est-à-dire en phase III. Ils bénéficient d’une dérogation provisoire et conditionnelle, compte tenu de l'”urgence”. Entre autres conditions d’attribution de cette Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) : il ne faut pas qu’il y ait d’alternative thérapeutique à ce vaccin. Voilà pourquoi toute molécule active contre la Covid se heurte à un mur administratif : si on reconnaissait officiellement l’activité de l’Hydroxychloroquine ou de l’Ivermectine, l’AMM du vaccin “sauterait» (Madame Buzyn, ex-ministre de la santé, a même fait classer l’Hydroxychloroquine dans les substances vénéneuses, ce qui prêterait à rire dans d’autres circonstances).

Difficile donc de se faire une idée objective de l’efficacité et surtout de l’innocuité de ces nouveaux vaccins, pour lesquels on n’a aucun recul. De plus, ils font appel à de nouveaux concepts : on n’injecte pas un antigène pour obtenir un anticorps comme dans un vaccin “classique”, mais on injecte :

  • Soit un ARN (ARNm) messager du virus, qui code pour une protéine antigénique de surface du virus (la fameuse “spike protein”). Vaccins de ce type : Pfizer et Moderna. C’est le sujet vacciné qui est chargé de produire la spike protein alors que cette fonction est dévolue au virus lui-même par la nature. Dans un deuxième temps, la machine immunitaire du sujet est censée produire des anticorps contre cette spike protein qu’il a été contraint de fabriquer par l’ARNm.
  • Soit un vecteur porteur de séquences géniques du SARS-Cov2 (Nom du Coronavirus responsable de la Covid). Vaccins de ce type : Astra-Zenca et Janssen). En général, c’est un Adénovirus d’animal (chimpanzé pour l’Astre-Zenéca) donc génétiquement modifié pour y incorporer les séquences “vaccinantes” du Coronavirus.

On peut donc à raison considérer qu’il ne s’agit pas de vaccins au sens traditionnel du terme, mais plutôt de thérapies géniques à prétention préventive, qu’il est hasardeux de manipuler pour beaucoup de spécialistes en biologie moléculaire.

Il faut donc refuser le vaccin et se tourner (rapidement) vers les traitements médicamenteux “classiques” très efficaces dans la phase initiale de la maladie. Le problème est que d’énormes pressions sont exercées sur les médecins pour empêcher la délivrance de ces produits bon marché et présents dans toutes les pharmacies.

Il faut signaler que les statistiques concernant le nombre de décès attribués à la Covid sont surestimées (décès avec Covid plutôt que décès de Covid). Inversement, le nombre de décès liés à la vaccination est sous-estimé pour des raisons de propagande.

L’antienne gouvernementale “vaccin seule issue”, est là pour terroriser la population.

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