Malgré le besoin que beaucoup éprouvent de se rattacher idéalement au combat des uns ou des autres, et cela malgré les incroyables invraisemblances des narrations Russes ou Ukrainiennes, il n’est pas inutile de faire quelques remarques pour les très rares âmes encore en mesure de faire face à la plus plate banalité des faits, qui sont têtus comme chacun sait.

Comme l’avait souligné en son temps Pierre Sidos, devant la situation désespérée de la France, beaucoup de nationaux sont tentés par les combat des autres: avant-hier Katanga, Yémen, Liban, hier Karens et Hmongs, Croatie, Serbie, aujourd’hui Syrie, Arménie, Ukraine ou Dombas… Combats d’abord et surtout verbaux, devenus plus risibles encore depuis qu’ils se déroulent sur les réseaux asociaux…

Nous remarquons que les nationalistes – ou plus exactement les identitaires – qui ont passé le plus clair de leur temps à ne pas aborder la question raciale – et en particulier la question juive – ces deux dernières décennies soutiennent publiquement le bataillon néonazi Azov, dont ils ne savaient rien ou presque il y a un mois.

Cela pose plusieurs questions : eux-mêmes, quelle opinion ont-ils du national-socialisme ? On aimerait qu’ils nous en disent plus, car de deux choses l’une, ou bien ils sont nationaux-socialistes mais ils le cachent très bien (où sont leurs articles, leurs livres, leurs organisations, leurs émissions de radio, leurs vidéos, leurs actions ?) ou bien ils ne le sont pas. Mais s’ils ne le sont pas, pourquoi cette débauche de solidarité électronique suivie d’aucun effet ? S’ils sont authentiquement dévoués à la cause des peuples autochtones d’Europe, pourquoi n’ont-ils rien dit depuis huit ans que le gouvernement juif et fantoche de Kiev bombarde des femmes, des enfants et des vieillards, blancs, européens et chrétiens au Donbass ? Ces vies-là ne comptent-elles pas ? Elles méritent donc d’être sacrifiées sur l’autel de leur géopolitique de boudoir…

La vérité c’est qu’il n’y a ni sincérité ni gravité à leur position de principe, ils affichent ainsi leur vertu “identitaire” sur les réseaux. Cela sera sans conséquences néfastes sur leurs petites vies d’emprunt, puisque c’est tout l’occident mesmerisé par le formidable appareil de propagande juive qui la valide. N’était ce petit sous-entendu philonazi… au sujet duquel les médias (((occidentaux))) montrent une complaisance qui ne s’explique que par la haine ancienne et indéracinable de tout ce qui est Russe.

Nous avons vu se déverser des tombereaux de rêveries, d’ignominies, de mensonges sous la plume électronique de gens que je considérais comme des camarades sinon comme des amis. Ils se sont livrés à une orgie de “solidarité” valorisante d’autant plus écœurante qu’elle n’implique aucun sacrifice, pas même de risque social, sans parler de risques physiques, puisqu’ils ont préféré le confort de Facebook aux périls du front. Ils se moquent bien d’entraîner ce qui leur tient lieu d’auditoire dans des impasses politiques, pourvu que leur appétit sans limite de gloriole numérique soit satisfait…

Pour le bien de la mouvance nationaliste française, ils auraient été mieux inspirés de conserver une certaine réserve en n’oubliant pas que le bataillon Azov a fort à faire et qu’il ne viendra pas faire la révolution nationale ici, en France à leur place… La décence, un certain réalisme politique, un souci des priorités et de la charité bien ordonnée le commandait. Mais la jobardise, le romantisme et la pose leur tenant lieu de boussole, il ne fallait pas s’attendre à autre chose.

Un mot également sur les “doctrinaires” qui “condamnent” l’opération russe selon le principe du “ni trusts, ni soviets” et qui en appellent à la solidarité avec l’Ukraine, nation européenne “agressée” par le tyran de Moscou…

Premièrement, cette position irénique (favorisant toujours la paix – quoiqu’il en coûte) fait fi du rapport de force créé par l’Empire du mensonge -Otan-Soros-Cia en 2014 lors du coup d’État coloré. J’avais alors ménagé la possibilité – certes très mince- d’une révolution nationale qui aurait capitalisé sur l’événement. Sur un malentendu cela aurait pu se produire. Mais nous ne sommes plus en 2014, les nationaux-socialistes Ukrainiens n’ont pas botté le cul de leurs oligarques juifs, ils ont préféré faire leur sale guerre de purification ethnique dans les provinces de l’Est.

Recuire les vieux slogans éculés du Groupe Action Jeunesse revient à apporter son appui moral aux opérations de destruction de la Russie. Mais plus grave et surtout – et c’est la seule chose qui m’émeut aujourd’hui – c’est appuyer les opérations de destruction des nations européennes, à commencer par l’Ukraine ! Destruction par submersion migratoire et par subversion lgbtqim+. Réalisation du Plan Kalegi et du Baphomet cabalistique. 

Une remarque en passant sur la destruction de l’Ukraine. Comme nous l’avions prévu dès le début de l’opération russe de février 2022, la Hongrie, la Roumanie et la Pologne prendront elles aussi part au dépeçage de l’Ukraine.

Nous avons passé des heures à expliquer les guerres hybrides de l’Otan en Italie et ailleurs (Belgique, Turquie, Espagne et Portugal, Opération Condor dans le Cône sud-américain) moins par goût pour l’histoire que pour prévenir les opérations hybrides de l’Otan alors en devenir… 

Nous avons échoué là aussi. Mais nos analyses sont confirmées : la subversion de la Droite révolutionnaire est un enjeu vital pour l’Empire antéchristique adossé à l’Amérique…

Comme l’Otan utilisa des éléments retournés de la Droite italienne dans l’Operation Gladio qui jouèrent un rôle central dans les attentats, en particulier ceux de Milan et de Bologne, l’Empire recrute ses tirailleurs dans la droite la plus bête du monde

Un mot aux poutinolâtres de stricte observance : Poutine gouverne un Empire multiethnique où les Russes ethniques sont désormais en minorité dans leur propre capitale, il persécute les nationalistes Russes, les dissidents, les militants de la vérité historique qui cherchent à rétablir la vérité sur le faux culte shoatique… Et il se prépare à convoquer un congrès international antifasciste quand il aura fini de “dénazifier” l’Ukraine.

Poutine ne fera pas la révolution nationale à notre place. Cessez de propager la légende selon laquelle Poutine est la synthèse de la Révolution conservatrice que vous appelez de vos vœux depuis vos boudoirs pas moins tristes que ceux de vos clones kieviens.

La situation dans laquelle nous met l’intervention militaire Russe sur le territoire ukrainien est celle d’un nouveau Yalta, que juifs de Russie et d’Amérique signent sur le dos de l’Europe, ce contre quoi nous prévenons depuis 2016, tandis que vous faisiez campagne pour (((Donald Trump))) …

 

                     Moscovites, kieviens, à tous n’opposez que la « France Seule »

 

Monsieur K

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